Lors de la mise en place du CICE, les élus CFDT avaient alerté l'entreprise
sur le danger que représentait pour l'entreprise la décision d’imputer le
CICE en déduction d'impôt, alors que le PRISME et l'administration fiscale
recommandaient de l’imputer sur une autre ligne budgétaire, celle des frais
de personnel.
En imputant le CICE en déduction de frais de personnel vous augmentez votre compétitivité tout en réduisant les couts salariaux.
En enregistrant le CICE en déduction d'impôt vous transformez le CICE en profit pour les actionnaires.
Les concurrents, qui eux ont suivi les recommandations du PRISME, se présentent aux appels d'offre avec des coefficients de 2 à 6 points inférieurs aux nôtres tout en restant rentables.
ADECCO a perdu plusieurs référencements sur de gros accords-cadres et se trouve en très grande difficultés sur plusieurs négociations en cours. Pour revenir sur un accord il faut parfois 3 ans avant de pouvoir refaire une proposition au client.
Nous sommes rentrés dans une logique financière brutale qui amène à terme l'entreprise dans un mur. Nos emplois et la rémunération variable de ceux qui ont signé leurs avenants est en danger. La segmentation est en termes de rentabilité un échec avec des impacts sociaux désastreux.
Au vu de cette situation alarmante, la CFDT demande d'urgence une réunion exceptionnelle avec Alain DEHAZE, Carlos Viladrich er Roberto Damonte avant la fin du mois d’avril pour travailler sur une sortie de crise.
Ne restez pas isolés, rejoignez la CFDT
En imputant le CICE en déduction de frais de personnel vous augmentez votre compétitivité tout en réduisant les couts salariaux.
En enregistrant le CICE en déduction d'impôt vous transformez le CICE en profit pour les actionnaires.
Les concurrents, qui eux ont suivi les recommandations du PRISME, se présentent aux appels d'offre avec des coefficients de 2 à 6 points inférieurs aux nôtres tout en restant rentables.
ADECCO a perdu plusieurs référencements sur de gros accords-cadres et se trouve en très grande difficultés sur plusieurs négociations en cours. Pour revenir sur un accord il faut parfois 3 ans avant de pouvoir refaire une proposition au client.
Nous sommes rentrés dans une logique financière brutale qui amène à terme l'entreprise dans un mur. Nos emplois et la rémunération variable de ceux qui ont signé leurs avenants est en danger. La segmentation est en termes de rentabilité un échec avec des impacts sociaux désastreux.
Au vu de cette situation alarmante, la CFDT demande d'urgence une réunion exceptionnelle avec Alain DEHAZE, Carlos Viladrich er Roberto Damonte avant la fin du mois d’avril pour travailler sur une sortie de crise.
Ne restez pas isolés, rejoignez la CFDT
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire