Le télé travail...Parlons-en

Les pouvoirs publics parlent beaucoup de télétravail : quels sont ses effets réels sur votre qualité de vie ?

Au Maul la Direction Adecco n'accepte pas les bureaux fantomes... et vous? Salariés cadres Adecco  Vous pouvez  vous exprimer  sur le sujet en repondant à une enquête:

http://www.networkedblogs.com/blog/cadres-cfdt

Le télétravail améliore-t-il vraiment votre qualité de vie collective ?

Le questionnaire vous permet de donner votre avis sur les 4 familles de critères grâce auxquelles on évalue traditionnellement un facteur de "développement durable": critères sociaux, sociétaux, environnementaux, économiques.

Le télétravail améliore-t-il vraiment votre qualité de vie individuelle?

Le questionnaire vous permet de donner votre avis sur les effets sur la fatigue, le stress, le plaisir et la santé.

Cette enquête , dont les résultats sont publiés régulièrement, est réalisée chaque année par l'Obergo (Observatoire du télétravail, des conditions de travail et de l'ERGOstressie) en vue de la rédaction d'un guide formulant des propositions aux salarié(e)s et aux entreprises pour organiser et réussir le télétravail.

Elections chez Adecco, appel a candidature


AVEC LA CFDT DONNONS UNE SUITE À NOS IDEES




Au mois de décembre 2011, nous allons élire pour 4 ans les représentants du personnel au Comité d’Entreprise ainsi que les Délégués du Personnel.

Le rôle des élus :

Vos élus seront chargés de défendre les salariés et faire appliquer la législation ou les accords professionnels dans l’entreprise.
Ils vous représenteront dans les discussions et les négociations avec la direction. Ils auront à se tenir informés de la situation économique et sociale de l’entreprise ainsi que des avis et des propositions émis par les salariés.
Leur rôle consistera aussi à  proposer des pistes de réflexion et à défendre nos revendications.
L’ensemble de la vie sociale de l’entreprise est conditionné par la capacité de vos élus à remplir ces fonctions avec le souci de l’intérêt collectif.

Des nouvelles règles :

Un changement important est intervenu depuis les dernières élections de 2005.
La loi sur la représentativité syndicale votée en 2008 reconnaît l’importance et le rôle des organisations syndicales dans le dialogue social dans les entreprises et conditionne la désignation des Délégués Syndicaux (DS) et des Représentant Syndicaux (RS) à leur représentativité dans les entreprises.
Seules les organisations syndicales qui auront obtenu plus de 10% des voix exprimées au 1er tour des élections professionnelles pourront prétendre à la désignation de DS et RS.
C’est donc un rendez-vous important pour la CFDT comme pour les autres syndicats présents dans l’entreprise et il convient de le préparer avec vous.

Tous concernés :

Pourquoi laisser à d’autres le soin de défendre vos idées ou mettre en œuvre les changements que vous souhaitez ?

Soyez force de proposition et participez à la construction de votre avenir.

Chacun d’entre nous, s’il a plus d’un an d’ancienneté dans la société, a la possibilité de prendre sa place dans les Instances Représentatives du Personnel (IRP)  que sont le CE ou les DP, sans oublier le CHSCT (Comité d’Hygiène et de Sécurité et de Conditions de Travail) dont les membres sont désignés par le CE.

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Pourquoi la CFDT :

La CFDT est un acteur incontournable de la vie sociale de notre pays.

Sa conception du dialogue social privilégie la négociation pour faire aboutir les revendications des salariés et son fonctionnement s’appuie sur la pratique démocratique à tous les niveaux de l’organisation.
Son implantation au niveau national comme au niveau local lui permet de mettre à la disposition des élus une organisation, des moyens et des réseaux importants et efficaces pour la défense des salariés.

La CFDT permet à chaque élu qui se présente sur ses listes d’accéder à l’information et aux formations nécessaires à l’exercice de son mandat.

La CFDT, c’est aussi une réflexion permanente et indépendante sur le monde qui nous entoure et une force de proposition sur les solutions qu’il conviendrait d’apporter pour améliorer la situation des salariés.

La CFDT, c’est enfin la garantie pour les élus de prendre les décisions qui concernent l’entreprise en toute autonomie dans la mesure où elles sont compatibles avec la philosophie et les pratiques démocratiques du syndicat.

Quel projet :

Une élection n’est pas une fin en soit et elle doit s’appuyer sur un projet.

Pour la section CFDT Adecco, la priorité est d’obtenir des meilleures conditions de travail et des augmentations de salaire pour tous les collaborateurs et non pas à « la tête du client ».

Nous pensons que le temps est venu de se doter d’une équipe ayant les moyens nécessaires  permettant d’apporter les solutions les plus adaptées pour répondre aux besoins et aux demandes des salariés et pour cela nous devons obtenir plus de 50% des voix.

Dans le cadre des discussions avec les partenaires sociaux, seule une organisation ayant une vision claire des enjeux économiques et sociaux , mais aussi des conséquences des choix collectifs sur la vie quotidienne des salariés, est en mesure de proposer des idées ou des solutions profitables au plus grand nombre.

Enfin, la défense des salariés et le respect de leurs droits sont des points sur lesquels la CFDT a démontré sa compétence et son efficacité. C’est la garantie pour chacun de pouvoir faire valoir ses droits en s’appuyant sur une organisation capable de prendre en charge des problèmes demandant une bonne connaissance du droit du travail et de son application.

NE RESTEZ PAS SPECTATEUR, DEVENEZ ACTEUR DE VOTRE AVENIR
REJOIGNEZ LES LISTES CFDT POUR LES ELECTIONS CE / DP 2011

Bientôt les Elections chez Adecco




Bientôt VOUS allez devoir voter pour votre avenir dans l’intérim chez Adecco. 

VOTEZ CFDT.

Espagnol Dentro de poco vamos a deber votar por su futuro en la interinidad en casa de Adecco VOTAR CFDT.
Portugais logo nos vamos ter que votar em seu futuro no trabalho temporario (intérim) a Adecco VOTAR CFDT.
Italien tra poco andiamo a dovere votare per il vostro avvenire nell’intérim da Adecco VOTARE CFDT.
Turc kisaca Adecco oyu CFDT senin aradaki zamandaki Gelecegin için oy  vermek var
Anglais soon we are going to have to vote your future in the temporary work (intérim) at Adecco VOTE CFDT.
Arabe salame alaykoume VOTE CFDT وسرعان ما نحن ذاهبون إلى أن مستقبلك للتصويت لصالح العمل المؤقت (مؤقتا) فرنك سويسري من التصويت CFDT

Chers amis et collègues intérimaires, nous sommes des salariés responsables.


Pour voter bien, pensez à voter juste.  
 Pour l’avenir, VOTEZ CFDT.


                   VOS ACQUIS SONT EN CAUSE.          
                                    
Nous avons besoin de votre soutien car nous sommes à l’écoute de tous les salariés et notre force de proposition est la plus forte.

NOUS POUVONS GAGNER AVEC VOUS ET POUR VOUS


VOTER  EST UN DROIT ET UN DEVOIR POUR TOUS LES SALARIES

Les élections ayant été annulées, nous allons devoir voter à nouveau dans les prochaines semaines. Pour avoir des partenaires sociaux forts, qui défendent vos intérêts. 
Votez Cfdt !



la société "idéaliste" de François Davy ou quand Un ex PDG voit la vie en Rose

Francois Davy notre ex-PDG nous livre dans un ouvrage récemment publié sa vision idéal du travail.
C'est un peu dommage qu'il n'est pas souhaité partager sa vision idéale du travail avec les Salariés d'Adecco.  
Au lieu de ça, il n'a laissé qu'un champs de ruine et fait de notre entreprise un endroit ou il ne fait pas bon vivre.

Incroyable, des visions de société du travail idéale après avoir organisé un plan social dans sa propre entreprise et favorisé le départ de nombreux cadres. !!

Article publié dans le Figaro

EXCLUSIVITÉ - Depuis son départ surprise début juillet de la tête d'Adecco France, François Davy n'a pas chômé. L'ex-président du comité Emploi du Medef - dont le rapport qui lui avait été commandé par Laurence Parisot n'a d'ailleurs jamais été publié - a profité de ses vacances pour rédiger un intéressant essai sur l'emploi, intitulé "Une société heureuse au travail", qui sera publié le 6 octobre aux éditions Nouveaux débats publics. "L'emploi, c'est pour la plupart des gens quelque chose qui ne va pas de soi et c'est bien compréhensible, écrit François Davy dans l'introduction de son livre que "Les dessous du social" ont pu lire en avant-première. On n'est pas préparé à entrer sur le marché du travail, pas préparé au monde de l'entreprise, peu préparé à se former, pas formé à la gestion de sa propre carrière et on se retrouve dans un grand désarroi quand on perd son emploi, désemparé devant la complexité de toutes les mesures existantes, pertinentes parfois, mais trop nombreuses et complexes."

En 240 pages bien troussées, l'ex boss d'Adecco nous livre un tableau apocalyptique, mais réaliste, du marché de l'emploi en France, en faisant au passage l'apologie de l'intérim, le meilleur "passeport vers une première expérience professionnelle". Des politiques publiques "au mieux inefficaces, au pire contre-productives"  - "la politique de l'emploi ne constitue-t-elle pas le meilleur exemple d'une politique gouvernementale qui, depuis 30 ans, n'a jamais atteint son objectif (plein emploi, baisse du chômage des jeunes, suppression du chômage structurel...) malgré toutes les bonnes volontés mises en œuvre", dénonce-t-il ainsi - à l'absence de "fluidité du marché du travail" en passant par la culture de la formation "à un coup" et une école qui contribue désormais à "accroitre les inégalités sociales et culturelles", tout le monde en prend pour son grade. Le constat est sans appel et la conclusion, tout aussi limpide : "Cela ne peut plus durer !"

Là où le livre pêche, c'est dans l'absence de propositions pour aller vers la société du travail "idéale" que François Davy annonce pour dans dix-quinze ans. Pour lui, c'est une évidence et on va y aller, naturellement, parce que nécessité fait loi. A titre personnel, je ne partage pas ses convictions ni ses certitudes. Alors quelle est donc cette "société heureuse du travail" que nous prédit l'ex-PDG d'Adecco ? Tous les acteurs du marché de l'emploi (Pôle emploi, les missions locales, les agences d'intérim, les associations, les PLIE, les entreprises...) travailleront en synergie au niveau local. Le niveau de décision optimale sera le bassin d'emploi et une harmonie régnera entre tous les acteurs dont les décisions ne seront plus guidées que par la recherche de l'intérêt général. Ça fait rêver même si ça ressemble comme deux gouttes d'eau à la politique que mène actuellement Xavier Bertrand, le ministre du Travail, sur le front de la lutte contre le chômage... "Dans le monde de l'emploi tel que je l'imagine dans 10 ans, les entreprises agiront concrètement pour améliorer le bien-être de leurs salariés", affirme-t-il encore. Mieux, les multinationales "devront rendre des comptes sur les niveaux de satisfaction de leurs employés et sur leur capacité à garder leurs meilleurs éléments" de la même manière qu'elles portent aujourd'hui la plus grande aujourd'hui, voire la seule, à leur capital financier.

Dans cette société idéale du travail "de dans dix ans", comme diraient les Guignols, les entreprises et l'éducation nationale travailleront en parfaite complémentarité, dans l'intérêt des élèves. Les enseignants seront mieux rémunérés et passeront plusieurs semaines en entreprise lors de leur formation. "Enseignants et entrepreneurs prendront conscience de leurs contraintes respectives, et surtout pourront échanger utilement sur les principaux métiers et leurs évolutions, des informations qui pourront utilement être transmises aux élèves", promet François Davy. Franchement, on en est encore loin quand on voit à quel point les syndicats de profs aujourd'hui crient au scandale dès qu'une entreprise essaye de franchir le portail des écoles... Les jeunes et les seniors ne sont plus "les oubliés de l'emploi". Ils représenteront au contraire une chance pour les entreprises. L'apprentissage sera devenue la voie royale pour s'insérer en entreprise, des "formations comportementales" seront dispensées aux jeunes à l'école et les vieux verront leurs "atouts valorisés". Et je passe sur le chapitre "discrimination" où l'auteur indique que "la diversité des parcours, des origines, des expériences sera un atout non seulement apprécié, mais recherché." Je serais méchant, je dirai que la société heureuse au travail que nous décrit François Davy est celle de Oui-Oui, le meilleur ami de mon fils de 6 ans !

388280840.jpgHeureusement, le livre de François Davy ne se résume pas à cette société du travail que je qualifierai d'idéaliste, plus qu'idéale. Rien que pour le constat sans concession et très réaliste du marché actuel de l'emploi, il vaut le coup. Je ne prendrai qu'un seul exemple. Davy s'insurge à juste titre contre la stratégie des entreprises qui consiste à verser de fortes primes de licenciements afin de se dégager de leurs obligations de reclassement. "Ce n'est pas une bonne politique de distribuer aux personnes licenciées des sommes élevées au titre du préjudice et de partir avec la conscience (prétendument) tranquille, sans s'occuper de leur futur reclassement, affirme-t-il. En vérité, la seule chose importante est que les salariés licenciés retrouvent du travail ; et l'on constate quasiment dans tous les cas que plus ils reçoivent une prime importante, moins ils se préoccupent de leur retour à l'emploi." Pour lui, les entreprises doivent avoir "des responsabilités plus fortes en matière de reclassement plutôt que de signer de gros chèques". Un discours rare mais bienvenu dans la bouche d'un grand patron que les candidats à la présidentielle seraient bien inspirés de reprendre...

Bientôt les élections professionnelles chez Adecco

  Appel a Candidature 
     pour les élections professionnelles 
        chez Adecco



              
   Gagner avec VOUS 

Vous êtes collaborateur intérimaire ou permanent Adecco et vous souhaitez
vous investir au sein du  comité d'établissement (CE) et/ou en tant que délégué du personnel ?

             Contactez Alain Butigieg:
             alain.butigieg@orange.fr
           


Agir sur le travail

Patrick Pierron, secrétaire national de la CFDT, présente le chantier "Agir sur le travail".
La question du travail est une préoccupation de longue date de la CFDT. En quoi le chantier "Agir sur le travail" est-il différent ? 

Ce chantier s’inscrit dans le prolongement des travaux que nous menons depuis presque quarante ans sur le travail et ses mutations. Mais c’est une nouvelle étape. Au début des années 70, nous posions déjà la question des dégâts du progrès. Puis, il y a eu le chantier sur l’intensification du travail et les enquêtes TEQ (Travail en questions). Et plus récemment, les rencontres avec les salariés du privé ou les "3 jours fonctions publiques", pendant lesquels nous avons entendu le témoignage de centaines de salariés et d’agents sur leur travail au quotidien. Tout cela nous a permis d’acquérir une connaissance et une expertise reconnues quant aux évolutions du travail et leurs conséquences sur la vie des salariés. Avec ce chantier "Agir sur le travail", nous voulons aller plus loin, dépasser le diagnostic. En travaillant tout particulièrement sur les thèmes les plus prégnants que nos enquêtes ont permis de mettre à jour et qui représentent les principales sources de souffrance au travail. Nous voulons aussi changer de focale: plus seulement en traitant les conséquences, mais en intervenant en amont, sur les sources mêmes de souffrance au travail. A savoir: les organisations du travail, les modes de management et le manque de reconnaissance du travail et de l’investissement des salariés.
De quelle manière ?
La mise à mal des collectifs de travail «traditionnels», mais aussi une certaine institutionnalisation de nos institutions représentatives du personnel (IRP) nous obligent à créer de nouveaux espaces d’expression ou de confrontation dans les entreprises ou les services des fonctions publiques. Il s’agit de recréer les conditions d’échanges sur toutes les dimensions du travail, des pratiques professionnelles aux difficultés rencontrées, pour élaborer collectivement des réponses. Ces groupes d’expression seront accompagnés par de militants «ressources», qui vont être spécialement formés. Et nous souhaitons y impliquer autant que possible l’encadrement de proximité, touché de près par tous les changements organisationnels. Trente expérimentations sont prévues, sortes de «laboratoires» d’un nouveau dialogue social local, dans des établissements du privé comme du public, des PME, des sites de grands groupes industriels, des services d’hôpitaux, etc. Pour certaines, ce sont les directions elles-mêmes qui nous ont sollicités, intéressées par notre démarche. Le lancement est prévu en septembre et nous ferons le bilan à l’été 2012, sur ce qui a marché ou pas, sur ce que cela a changé ou pas dans les entreprises...
La CFDT lance en parallèle une grande enquête sur le travail. Quel est son objectif ?
Nous lançons en effet cette enquête ce mois-ci, et chacun est invité à y répondre. L’ambition en est de construire un baromètre de la vie au travail. Il est conçu pour permettre d’évaluer l’impact de notre projet, de voir si les terrains choisis et notre façon de procéder participent bien à l’amélioration de la qualité de vie au travail... ce qui est bien l’objectif ultime!
Propos recueillis par Emmanuelle Pirat

Dernières nouvelles suite au mouvement social.


La CFDT, 1ère organisation syndicale de l’entreprise, a déjà été reçue par la direction. 
Celle ci lui a demandé de lui faire des propositions réalistes afin d’apaiser les tensions dans le réseau et les centres de service.
Nous avons parlé des principaux obstacles et problèmes majeurs. Nous avons  proposé de revaloriser les fixes notamment pour les bas salaires (augmentation de 3% sur les fixes inférieurs à 2300€). Un groupe de travail pour la refonte du système de rémunération sera mis en place. Nous avons ensuite parlé de la revalorisation  des taux de commissionnement, car entre la crise et le passage à PeopleSoft V9, ce taux a été divisé de moitié pour certains.

Même s’il y a un minimum garanti salarial annuel de 20000€ chez Adecco, la valeur perçue par le collaborateur est bien moindre compte tenu de la prime de fin d’année, de la mutuelle et des tickets restaurants qui viennent amputer le revenu net chaque mois.

Nous avons évoqué le travail très difficile de beaucoup de salariés de l’entreprise :
-       Responsables d’UO, DAM et CA DA  qui ne sont pas  reconnus à leur juste valeur.
-       Salariés des centres de Gestion, Services et autres UTA.
-       Salariés des agences qui croulent sous le travail et les reporting
-       Et tous les autres en DR ou ailleurs, etc…

Nous les avons à nouveau alertés sur un sous-effectif chronique dans les agences qui comme c’est trop souvent le cas, sont tenues par des stagiaires.

Nous avons suggéré une prime de vacances, comme geste immédiat qui pourrait soulager les budgets des familles et avons proposé un sondage auprès des salariés concernant le statut assimilé cadres qui ne se justifie pas pour les employés.

Nous avons en final demandé le paiement des journées de grève.
Toutes les organisations syndicales devraient être reçues dans la foulée et nous devrons nous rencontrer courant juillet pour entamer des négociations sérieuses.
 

Le mouvement de Grève à l'initiative de la CFDT a été suivi chez ADECCO

Plusieurs agences d'Adecco, un des leaders du travail temporaire en France, étaient fermées jeudi à la suite d'une grève nationale sur les salaires lancée à l'appel de la CFDT. 

L'annonce des excellents résultats du groupe Adecco, avec un résultat net qui s'éleve à 423 millions d'euros, a généré une incompréhension ainsi qu'un fort mécontentement auprès des salariés", a affirmé à l'AFP Sébastien Delahaye de la CFDT.

Selon le syndicat, le mouvement de grève a été suivi par environ 500 salariés sur un effectif de 4.000 permanents. Les grévistes réclament, pour chaque salarié des 900 agences de France, une augmentation des salaires de trois pour cent et une prime de 1.000 euros. Ils souhaitent également que le lundi de Pentecôte soit non travaillé et rémunéré. Contactée par l'AFP en fin de matinée, la direction d'Adecco n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat. Une trentaine de salariés se sont rassemblées devant le siège parisien. "Nous avons demandé à être reçus par la direction pour rouvrir les négociations salariales", a indiqué Sébastien Delahaye. A Villeurbanne (Rhône), devant le siège national d'Adecco France, quelques dizaines de salariés étaient rassemblés dans la matinée, selon le syndicat. "Revalorisez nos salaires", "niveau de vie décent, conditions de travail décentes", réclamaient-ils.


"Beaucoup de salariés sont solidaires mais ne peuvent se permettre de perdre une journée ou même une demi-journée de salaire. Le personnel, essentiellement féminin, compte de nombreuses familles monoparentales", a expliqué à l'AFP Christine Ruiz de la CFDT. Ces manifestants venaient de toute la région, alors que des agences étaient fermées à Ambérieux, Romans, Lagnieu, Meyzieux ou encore Bourgoin, d'après le syndicat. "Les négociations salariales sont terminées et ne satisfont personne puisqu'il n'y a pas d'augmentation générale et seulement un petit budget au mérite", a-t-elle indiqué. François Davy, PDG d'Adecco France, a croisé jeudi matin les manifestants, et s'est dit, d'après la CFDT, "ouvert à la négociation". "Il faut qu'on se mette autour d'une table", a-t-il dit, invitant le syndicat à le contacter à nouveau pour fixer une date.
 

la Greve chez Adecco c'est demain

La CFDT appelle à la grève chez ADECCO
L’annonce des excellents résultats du groupe ADECCO, voyant son résultat net s’élever à 423 millions d’euros, ainsi qu’une augmentation prévisionnelle des dividendes reversés aux actionnaires, a généré une incompréhension ainsi qu’un fort mécontentement auprès des salariés de l’entreprise.
Cette annonce faisant suite à l’échec des négociations sur les salaires conjugué à une participation aux bénéfices nulle alors que les résultats de l’entreprise sont très bons, amène la CFDT ADECCO à appeler les salariés à la grève.
Deux points de rassemblement seront organisés jeudi 12 mai 2011 à partir de 9h
- Le premier au siège Parisien du groupe (57-59 Boulevard Malesherbes 75008)
-Le second au siège de Villeurbanne.
Outre le manque de reconnaissance de la direction vis-à-vis de ces salariés, la CFDT dénonce également la forte dégradation des conditions de travail due à une baisse d’effectif d’environ 1600 salariés depuis l’année 2008.
Le 12 mai, la CFDT appelle donc les salariés à soutenir les revendications portant sur les salaires :
Augmentation générale de 3% Prime de 1000 euros pour chaque salarié Lundi de pentecôte non travaillé et rémunéré.
Un point presse sera organisé à partir de 11 h devant le siège Parisien.
La CFDT se mobilise pour la défense du pouvoir d’achat des salariés.

Parler c'est bien .. agir c'est mieux


 
Comment être fan d’un blog qui ne reflète en rien la vie de l’entreprise ? Normal, aucunes des « têtes dirigeantes » de la CFE CGC ne travaille dans le réseau. Beaucoup de promenades, de grands discours, de flagornerie, de réunionite aigue, de catastrophisme chronique....mais pas beaucoup d’action !! Au dire d’autres syndicats (parfois leurs « alliés » chez Adecco), leur présence dans les instances paritaires est une pure protection personnelle et ils ne brillent que par leur inefficacité, leur discrétion et bien souvent leur absence.

Bref quelle prétention de croire que la CFDT a besoin des beaux discours et des conseils d’une organisation aussi minoritaire ! Notre décision de faire un mouvement social était prise depuis bien longtemps et  en cours de finalité. Ne restait que le tract à paufiner et à envoyer pour déclencher l’opération. Pendant qu’ils faisaient marcher leurs supers cerveaux de cadres pour envisager un mouvement, nous étions déjà prêts. Pourquoi proposer à ce syndicat, qui se croit tout permis, qui nous regarde de haut dans les réunions, de s’associer à notre mouvement ?
En tant que syndicat toujours majoritaire (voir résultat des élections) nous n’avions pas besoin des autres. Ce qui nous intéresse, c’est que les salariés se retrouvent dans ce mouvement de grève et se manifestent pour défendre leurs droits et les salaires. Le syndicat ne peut rien faire sans les salariés.

Certes leurs belles phrases et leurs envolées lyriques peuvent faire illusion. Mais quand on voit le mutisme de cette organisation au CCE lors de décisions importantes (même si on ne vote pas on peut s’exprimer),  leur façon de reposer toujours et toujours les mêmes questions en CE et revenir sans arrêt sur tout sans pour autant faire avancer les choses, on se pose des questions. C’est plus facile de critiquer ceux qui prennent des risques et de laisser ses attributs au vestiaire quand il faut se mouiller !!!
Forcément quand on ne sait que demander pourquoi on ne peut voyager en 1ère, qu’on n’entend pas suivre les consignes de l’entreprise car on ne veut pas voyager avec des « jambons beurre », qu’on se préoccupe avant tout de savoir à quelle heure on va déjeuner et si l’entreprise paye bien le repas (à partir de 12h ils ont le ventre qui « grogne ») qu’ils prendront à l’extérieur car les plateaux repas ne sont pas assez bien pour eux...
Oui ils sont vraiment là pour défendre les salariés !!!!
Nous ne parlerons pas bien entendu de leurs propos à voix basse dans les couloirs, complètement discriminants vis-à-vis des non cadres et des intérimaires, de leurs moqueries sur les élus, de leur mépris permanent des autres.
NON MESSIEURS LES PRETENTIEUX, NOUS NE SERONS JAMAIS DU MEME COTE DE LA BARRIERE !
Vos alliances avec la CGT (ceux-là même qui vident les comptes et bloquent toutes les négociations en oubliant les salariés mais pas leurs intérêts), FO qui ne se prononce jamais et n’a jamais d’opinion ou n’est pas au courant, la CFTC qui est isolé (« pauvre intérimaire » dont vous vous êtes si souvent moqués suite à ses écrits) sont des alliances de faux-semblants !
Mais SEULS VOUS N’ETES RIEN !
Honte à vous pour ces écrits diffamatoires.
Honte à vous qui êtes sensés représenter l’encadrement.
Honte à vous pour vos mensonges éhontés et la propagande fondée sur la désinformation.

Nous restons droits dans nos bottes, et continuerons à défendre les salariés avec les valeurs de la CFDT, et oui parfois, nous ferons des erreurs. Mais contrairement à vous, nous n’avons aucune prétention, nous sommes des salariés comme les autres. Nous avons pour nous notre honnêteté intellectuelle. On ne peut pas en dire autant de tout le monde.







Chez Adecco, un management autoritaire qui ravage les Salariés

Quelque soit notre statut, non cadre ou cadre, quelque soit l'ancienneté chez Adecco, un an, cinq, dix voire plus, combien d'entre nous avons subis des reproches sur nos performances, notre investissement et implication professionnelles au détriment, bien souvent de notre vie personnelle et privée.

Une pression au travail omniprésente et grandissante d'année en année, un manque de reconnaissance, parfois même un harcèlement non justifié.
Certains vont même jusqu'à presser le citron afin d'obtenir une démission ou abandon de poste.

Ne parlons pas de nos salaires de misère! Certains sont même dans l'obligation de cumuler deux emplois afin de pouvoir finir les fins de mois difficiles! c'est tout simplement Honteux! No comment!

Ne subissons plus ce type de management autoritaire et directif, mais agissons!
Le groupe CFDT Adecco est présent pour vous accompagner, vous défendre et répondre à vos questions. Comme vous nous sommes constitués de cadres et non cadres. Nous avons la chance de continuer à travailler en réseau et de ce fait connaissons bien  les problématiques sur nos conditions de travail.
Témoignez-nous vos difficultés par le biais de notre site (www.cfdt-adecco.com). Nous nous engageons au respect de la confidentialité de vos témoignages. Nous avons besoin de vous pour lutter contre ce fléau. Ce n'est qu'en luttant ensemble et en étant soudé qu'on pourra aller vers le changement. Obtenons des conditions de travail digne de ce nom et  de façon pérenne!

Agissons pour le changement et le renouveau! Rejoignez-nous, témoignez afin de faire avancer les choses! Nous sommes à votre écoute,et comptez sur nous pour continuer à défendre vos intérêts des  mais aussi  ceux des intérimaires. Alors n'hésitez pas!


                                              La CFDT Adecco Avec vous

Trop de mails chez Adecco : dangereux pour la santé ?

De nombreux collaborateurs se plaignent de recevoir trop de mail. Les centaines de mails reçu chaque jour nous obligent même a nous connecter pendant les vacances pour épurer cette masse toujours croissante. La section CFDT Adecco a remonté a de nombreuses reprises les difficultés des salariés Adecco concernant ce sujet.

A lire un article de la CFDT Cadre:

Il est plus facile de prôner la suppression des technologies asynchrones que de s’attaquer au flux tendu, à l’inflation d’indicateurs ou au reporting permanent.

Beaucoup de salariés, et en particulier des cadres, ressentent ce que l’on appelle la surcharge « communicationnelle » (nombre de données liées à la communication) et la « surcharge informationnelle » (liée au nombre de données mises à la disposition du salarié), sources de stress pour les salariés et de perte de productivité pour les entreprises. C’est pourquoi deux initiatives récentes chez Canon et chez Atos Origin, concernant la gestion de l’ « infobésité », attirent l’attention : elles ont pour objectif de diminuer ou de même de supprimer l’usage de la messagerie électronique, technologie dite « asynchrone » car la réponse peut ne pas être immédiate. L’idée est de développer les technologies « synchrones », qui exigent à toute question une réponse immédiate, du type téléphone ou messagerie instantanée en faisant l’hypothèse que les messages seront moins nombreux – pas de copies- et moins longs - car le dialogue doit faciliter les solutions immédiates.

Conditions de travail et TIC : vers le ping pong permanent avec la suppression des technologies asynchrones ?

Certes le courriel est très chronophage, mais il autorise encore un tout petit espace de liberté dans cette jungle informationnelle : le récepteur n’est pas sous la pression permanente de l’émetteur du message et peut hiérarchiser ses priorités et prendre un certain temps – même s’il est souvent très court – pour répondre. Il lui reste une impression de travailler à son rythme …
Favoriser les technologies synchrones est-ce une bonne solution ? Pas sûr, car les risques de ce type de communication qui exige des réponses immédiates sont bien connues : travailler sous contrainte de temps induit moins de réflexions, plus de pression et plus de stress. Seuls ceux qui préfèrent le ping pong au bridge ou aux échecs seront avantagés. Mais les champions de tennis de table ne jouent pas en compétition 8 heures par jour et 200 jours par an pendant 42 ans…

Des solutions trop limitées : changer les technologies ou changer l’organisation ?
Réfléchir aux dangers de la messagerie ne manque pas d’intérêt : mais n’est-il pas au moins aussi important de se reposer des questions sur la détérioration des conditions de travail provoquées par les excès du flux tendu, du reporting permanent et de l’inflation des indicateurs cherchant à contrôler en détail l’activité et les résultats de chaque salarié en tout lieu et à toute heure ? A lire sur le blog d'Yves Lasfargue, Négocier le télétravail.

BIEN ECRIRE NE VEUT PAS DIRE TRAVESTIR


Le CFE CGC, il faut bien le dire, excelle dans l’art du verbe, de la syntaxe, mais aussi dans le mensonge. Tout est bon pour travestir la vérité et les faits.
Après avoir déclaré de soi-disant fraudes, une banqueroute au CE Est Sud, et maintenu un suspens haletant sur des révélations croustillantes concernant certains élus, les voilà qui organisent une fronde contre la section syndicale CFDT Adecco !
FO non représentatif au 1er tour s’est démené pour faire annuler les élections avec l’aide de la CGT.
Pour le 2ème tour, c’était le CFE CGC et la CGT qui demandaient l’annulation.
Le jour de l’audience, Ô Miracle, la CFE CGC a défendu avec véhémence et conviction, la position de la direction : contre l’annulation. Quelle constance !
Pour notre part, n’étant pas partie prenante de cette guerre de pouvoir, nous sommes restés en retrait ne donnant aucun avis.
Bien sûr, à aucun moment ces représentants du personnel ne se sont demandés quelles seraient les conséquences pour les salariés que vous êtes. Non ! La question était plutôt quels avantages pouvaient-ils en retirer personnellement !
FO se targue de ne pas reconnaître l’instance CE actuelle, donc ne vient pas aux réunions : sauf pour l’élection des membres du CCE. Au cours de cette réunion, après s’être abstenue sur tous les votes de la matinée, Ô Miracle, elle vote pour les membres du CCE pour obtenir un poste. Quelle cohérence !
La CFE CGC argumente son association avec les autres syndicats contre la CFDT Adecco, au motif que seule la CFDT  Adecco était présente au CCE. FAUX ! Tous les syndicats étaient représentés ainsi que les indépendants. Nous avions 4 postes sur 9 ce qui était le reflet de nos précédents résultats aux élections en 2005, soit 51,2%.
Cette alliance contre nature de syndicats n’ayant recueillis qu’une minorité de voix, prouve seulement le malaise des élus qui les composent, mais surtout les motivations qui les habitent.
D’ailleurs, nous sommes toujours présents aux réunions, alors que certains ne se présentent que lorsque les votes sont susceptibles de leur rapporter quelque chose à titre personnel.
La CFDT Adecco n’a jamais fermé la porte à qui que ce soit. Notre préoccupation unique : les salariés et les compétences des élus mises au service de ces derniers.
Aucun syndicat ne nous a demandé si on pouvait faire en sorte que la représentativité soit respectée au sein du CCE.
La CFE CGC, en grand stratège, a préféré mettre à la tête des finances du CCE, ceux-là même, qui ont dilapidé les millions du CE Ouest (de 15 OOO€ à 49 850€ de notes de frais pour certains élus CGT par an).
Nos élus issus du syndicat naturel des Cadres, seraient-il tombés sur la tête ?

La CFDT Adecco a une section cadre, une section non-cadre et une section intérimaire. C’est ça la démocratie. Alors réfléchissez bien avant de vous engager dans ces organisations syndicales qui ne roulent que pour leur intérêt propre.


Zero % d'augmentation chez ADECCO


 Zero % d’augmentation cette année
pour la plupart des collaborateurs.

La CFDT a préféré ne pas signer les dernières négociations salariales.
Du saupoudrage, encore du saupoudrage. Les demandes de la CFDT allaient évidemment bien plus loin.Les élections ayant été annulées, nous allons devoir voter à nouveau dans les prochaines
semaines. Pour avoir des partenaires sociaux forts, qui défendent vos intérêts.
 
 
 
Votez CFDT !

LES MALINS S’ALLIENT AVEC LES COQUINS !

VOUS AVEZ LE DROIT DE SAVOIR

LES MALINS S’ALLIENT AVEC LES COQUINS !
 
La CFE CGC, syndicat catégoriel avant tout, a fait alliance notamment avec la CGT pour prendre le contrôle du Comité Central d’Entreprise.

Ceux-là même qui s’insurgent contre les « vraix faux indépendants », « la mauvaise gestion du Comité d’entreprise EST (5,5 Millions d’euros de réserve) », s’associent avec le 2ème syndicat représentatif dans l’entreprise, celui qui a géré le CE OUEST ces dernières années.

Que reste-t-il des millions d’euros de ce CE ? Pratiquement plus rien. Les budgets ont été scandaleusement dilapidés, par des élus dont les notes de frais font frémir.*
Vous avez le droit de consulter les comptes des CE . Cet argent vous appartient. Il n’est pas fait pour engraisser les élus.

Ferez-vous confiance lors des prochaines élections à ces élus qui font des alliances dangereuses et contre nature ?

Si vous voulez sauver les budgets de fonctionnement des CE et surtout vos avantages sociaux,
si vous voulez conserver vos appartements, VOTEZ CFDT.


TOUTE L’EQUIPE CFDT VOUS SOUHAITE UNE EXCELLENTE ANNEE 2011

                                                   DEFENDEZ VOS ACQUIS 

Comment les accords sont-ils négociés ?

Dans le monde du travail, la loi (le code du travail) n’est pas seule pour régir les rapports entre salariés et employeurs. Un processus de négociation est organisé pour la compléter, la préciser, ajuster des dispositions à des situations particulières, etc. L’organisation du travail en France classe les entreprises en fonction de leurs métiers, de leur domaine et de la nature d’intervention, qu’elles soient de service public ou de domaine privé, qu’elles soient régies par le droit commercial, administratif, etc. Un processus de négociation est donc mis en place dans plusieurs lieux (par exemple au niveau de la branche professionnelle) avec des prérogatives particulières. Toutes ces dispositions peuvent paraître lourdes, voire complexes, mais elles sont là pour protéger le salarié dans un rapport inégal avec son employeur. Tout n’est pas permis, le salarié et l’employeur ont des droits et des devoirs réciproques dans un cadre humain. Pour ce qui est du domaine de l’entreprise, le code du travail confie aux organisations syndicales représentatives la capacité de négocier et de signer les conventions et accords collectifs avec la direction. Chaque organisation syndicale représentative nomme des "délégués syndicaux" pour la représenter à ces négociations.

La tache des délégués syndicaux est délicate et complexe car elle doit prendre en compte les objectifs de la CFDT, des membres de la section syndicale et la problématique de la direction de l’entreprise. Depuis 2009, la signature de la direction de l’entreprise et d’une organisation syndicale ou plusieurs organisations syndicales ayant obtenu au moins 30% des voix aux élections du CE sont nécessaires pour valider un accord. Un syndicat ou plusieurs ayant obtenu 50% des voix peuvent s’opposer à un accord. Les négociations sont :  pour une part organisées autour de thèmes obligatoires chaque année (les négociations annuelles obligatoires) : les salaires, la durée effective du travail, la création d’un régime d’intéressement ou de participation aux résultats, la création d’un régime de prévoyance maladie, les objectifs en matière d’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. pour une autre part de thèmes choisis par la direction et les organisations syndicales.

En début d’année, direction et organisations syndicales définissent un calendrier prévisionnel de ces réunions de négociations. Pour la négociation annuelle obligatoire, il n’y a pas obligation d’arriver à un accord. En cas de désaccord, la direction doit établir un procès-verbal de désaccord reprenant les dernières propositions de chacune des parties et décrivant les mesures que l’employeur décide unilatéralement d’appliquer. Pour chaque thème de négociation :

-la section syndicale CFDT d’Adecco élabore une position fondée sur les principes du droit, de la justice, de l’amélioration des conditions de travail dans l’entreprise, des axes politiques de la CFDT et des convictions qui anime chacun de ses membres,
-les délégués syndicaux CFDT d’Adecco présentent et défendent cette position lors des réunions de négociation avec la direction et les autres syndicats,
-les délégués syndicaux CFDT d’Adecco font régulièrement un rapport à la section syndicale qui, après débat, décide de la conduite à tenir pour la suite des négociations, en fin de négociation, la section syndicale prend une décision quant à la signature de l’accord.